Aurillia est une ville de Suisse, située en plein centre du canton de Vaud, dans l’Ouest du pays. Elle compte approximativement 78 000 habitants. Ne comportant pas d’agglomération, sa population est intégralement contenue dans son centre.
Mondialement réputée pour son université, à la pointe de la connaissance et de la technologie, Aurillia est aussi excessivement connue pour son usage des énergies renouvelables, en particulier de l’énergie solaire dont elle forme l’un des fiefs.
La langue utilisée à Aurillia est essentiellement le français, mais l’allemand ou l’anglais sont tout autant pratiqués, surtout par le nombre croissant d’étrangers qui demeurent à proximité du complexe universitaire.
Géographie
Aurillia se situe sur l’un des flancs de la vallée entourant le Lac d’Auréa, entre le mont de Gremont et le Mont Miroï. La seule façon d’y accéder est le chemin de fer, ou la route qui le longe passant tous deux par le tunnel de Gremont, long de plus de 10 km, traversant le massif du même nom.
L’arrivée du tunnel se fait en hauteur par rapport à la ville. Celle-ci s’étend ainsi sur un site en pente partant de la gare et allant jusqu’au lac lui même. Ce dernier est alimenté par l’Auréa, rivière arrivant par le Sud, et se vide au Nord par le barrage qui donne plus bas sur une succession de petites vallées non peuplées.
La zone la plus en pente porte le simple nom de Quartier de la Gare. Plus ancien que le reste de la ville, il est rempli de multiples petites ruelles sans aucune réelle logique, et entouré des bâtiments les plus anciens de la ville, entre autres la majestueuse cathédrâle Saint-Alexandre qui fait face à la Gare.
L’Avenue des Larmes est la seule véritable grande rue de la cité, et descend directement sur le nouveau centre-ville, qui porte le nom de Terrasse du Lac. En zone inondable, il n’en demeure pas moins un endroit très prisé, entre autres grâce au plat de son relief. On y retrouve le deuxième plus ancien bâtiment de la ville, l’Hôtel de Ville, ainsi que tous les nouveaux musées et centres culturels, pour finir par les quartiers bancaires. A l’extrême est de la Terrasse du Lac, c’est le port de plaisance qui se prolonge sur environ un dixième du lac, laissant aux plaisanciers le loisir de profiter de l’eau clair du lac d’Auréa.
En quittant le quartier de la Gare, il est aussi possible de longer la montagne vers le Sud, de la même façon qu’on remonterait vers le Sud-Ouest par la Terrasse du Lac, afin d’arriver dans les hauteurs qui surplombent Aurillia. C’est là qu’on trouve les bâtisses les plus somptueuses et effarantes de la cité, avant d’aboutir directement en pleine nature, pour tous les adeptes de la marche à pied, et d’autres activités en plein air… ou en pleine forêt.
Plus au Sud encore, sied un immense plateau montagneux traversé par l’Auréa. On y trouve l’intégralité des entreprises scientifiques d’Aurillia, ainsi que la centrale solaire, et le four bien en amont.
Au contraire, en partant vers le Nord de la Terrasse du Lac, le quartier s’appauvrit quelques peu, devenant plus populaire : c’est ici que résident les étudiants et travailleurs de milieux sociaux moyens. Aussi animé que la Terrasse du Lac, c’est toute une ambiance de joie et de jeunesse qu’on pourra y retrouver. Longeant ainsi le lac jusqu’à la centrale hydraulique au nord, ce quartier porte le nom de Quartier du Barrage.
Après avoir traversé le barrage, on arrive de l’autre côté du lac, sur le versant ouest du mont Miroï. C’est là que s’étale l’immense université d’Aurillia, aussi mondialement connue que les connaissances qu’on acquiert en ses lieux. Les innombrables bâtiments de celle-ci ont été construits parmi la végétation sauvage du versant, des rives du lac à mi-chemin du sommet de la montagne. Les multiples rajouts qui y ont été effectués donne à l’ouvrage un âge totalement inconnu : on peut passer d’un hall datant de quelques mois à un bâtiment presque moyenâgeux. C’est ici que vous devrez vous rendre, si vous désirez enrichir vos connaissances.
Dans le cas contraire, vous trouverez tout ce qu’il vous manque dans la cité elle-même. A vous de vous y retrouver…