Suite de la suite de l'arrivée de Toesen

La jeune femme prendra place derrière lui, se cramponnant comme il l'espérait au niveau de la taille, avant de s'approcher de lui, casque encore ouvert, pour lui dire :
"Mais avec plaisir bel étalon. Que dirais-tu de monter d'abord direction l'Avenue de Goethe ? Il n'y a pas mieux pour surplomber la ville, et la descente sera ensuite un vrai régal..."

Elle refermera son casque de sa main gauche, la plaça de nouveau sur la taille de Toesen, puis le laissa démarrer en trombes, si tel était son choix.

<< Suite Avenue de Goethe si Toesen décide de s'y rendre, sinon là où il le désire >>

Il joue brutalement la surprise et le choque
« Un tutoiement ? Si tôt ? Je ne sais pas si... Haaaaa ! Au diable les convenance social, on n'a qu'à ce tutoyé et rouler dans la nuit vers ta mystérieuse destination ! »

Il suis alors la jeune femme jusqu'à la moto. Une fois arrivé à l'engin, il monte dessus, la démarre et attend que sa compagne monte derrière lui et se tienne bien (en espérant qu'elle le fasse à sa taille).
Une fois que c'est le cas, il fera ronronné sont moteur avant de se lancer et de dire « Chevaucher avec toi sera un paradis »

Toesen fut presque persuadé qu'elle se força à rougir lorsque celui-ci la complimenta. Peut-être était-elle encore plus douée qu'il ne le pensait ? Cela ne pouvait qu'être encore plus positif...

Elle attrapa le casque, avant de regarder le jeune homme droit dans les yeux.
"J'ai une excellente idée de ballade, je suis persuadée que vous allez adorer, et vous verrez toute la ville. Enfin... vous... peut-être pourrions-nous nous tutoyer ? A moins que vous ne trouviez ça trop..." elle s'approcha délicatement de lui "intime peut-être ?" Sourire, puis pas en arrière avant de s'avancer vers le parking où était garée la moto du Caïnite.
"On y va ?"

Il la regarde de haut en bas, en pensant « la soirée s'annonce particulièrement sympa ! »
Tout en relevant ces lunettes d'un mouvement qu'il espérait classieux, il s'approche de la jeune femme et lui dit dans une voie douce et basse, presque dans un murmure « J'aurais pas crue que tu puisse paraitre encore plus belle que lorsque je t'ai vue la première fois ». il hausse un peut la voie en ajoutant « Je ne sais pas, je ne connait pas la ville.. Je comptait sur tes talent de guide touristique pour me faire découvrir certaine merveille suisse... »
Il lui tend ensuite le casque qu'il portait à sont arrivé.
« Vous m'indiquerez le chemins lorsque nous seront en route. Le destrier de Mademoiselle l'attend »
La perspective de conduire ca moto à travers la ville en si bonne compagnie fit éblouir sont visage d'un grand sourire.

Le temps défila au final assez rapidement, de sorte que Toesen n'eut même pas trop à s'intéresser au type d'émissions que proposait la Suisse. Alors que sonnait la fin de l'heure et demi, et qu'il rangeait ses affaires, il eut le loisir d'apercevoir sur l'écran une course de motos, comme quoi le hasard faisait bien les choses...
Mais il était temps de rejoindre Céline, et il atteignit l'écran afin de rejoindre sa place. Arrivé à la réception, il constata que c'était désormais un homme qui s'occupait de la suite de la nuit, et que Céline était absente. Il patienta alors, comme prévu, puis finit par la voir arriver, dans une tenue nettement plus décontractée que son uniforme d'hôtesse, les cheveux détachés, ce qui lui donnait un air encore plus alléchant. La question était principalement : avait-elle vraiment un petit air de rebelle, ou était-elle juste une fille de bonne famille désireuse de sortir s'éclater ?

"Je suis prête." annonça-t-elle poliment à Toesen avant de saluer son collègue à la réception. "Alors, que désirez-vous voir ?"

Après avoir donné un pourboire au groom, le gangrel sourit lorsqu'il vois la chambre. Celle ci était trop spacieuse, trop luxe pour ces goût de motard, mais il ne pouvait courir le risque de bruler la première nuit, pensant que cela ferait vraiment tache sur ces états de service.

Ayant un heure et demis à perdre, il jeta son sac de marin sur le lit, alluma distraitement la télévision sur une chaine au hasard et s'appliqua et sortir plusieurs chose de son bagage.
Un couteau a aiguisé, un chiffon propre, une trousse de nettoyage d'arme a feux et une couverture qui lorsqu'il la déroula découvrit un desert eagle ayant apparemment déjà servi plusieurs fois.

Il commence par sortir les deux grand couteau militaire des étuis placé sur sa cuisse puis les aiguise minutieusement avant de les remettre à leur place. Il s'applique ensuite à démonter l'arme avant de se mettre à sont entretient. Il finit par le remettre précautionneusement dans sa couverture puis dans la poche dissimulé cousu sont sac, ne voyant pas l'utilité de l'emmener avec lui lors de cette simple balade en ville.

Il patiente ensuite jusqu'à la fin de service de la jeune réceptionniste en fumant tranquillement devant la télévision.

Un fois l'heure et demis passé, il sort tranquillement et va attendre celle ci dans le hall de l'hôtel, adossé nonchalamment à un mur.

Céline lui remit directement les clés, et toujours avec son même sourire, lui glissa un "à tout à l'heure" avant de le laisser partir.
Comme tout hôtel classieux dans lequel Toesen était, il semblait hors de question qu'il rejoigne seul sa chambre pour la première fois : un groom à l'entrée de l'ascenseur le mena à l'étage correspondant, puis de là lui indiqua sa chambre.
Après avoir fait tourner la clé dans la serrure, Toesen ne fut nullement déçu de ce qu'il trouva : la taille des pièces, chambre, salle de bain et salle d'eau, était immense, les volets parfaitement hermétique, et les draps tellement blancs qu'ils ne semblaient que demander à ce qu'on les utilise.
Sur le mur en face du lit, un tableau représentait le lac d'Aurillia, et la ville à une époque datant de plusieurs siècles auparavant. De l'eau coulait sur un mur d'eau, tandis que la télévision, écran plat évidemment, attendait patiemment qu'on l'allume. Décidément, Toesen n'avait rien à redire. Par contre, il aurait probablement à y mettre le prix.

« Enchanté, Miss Céline...  Je serai heureux d'avoir quelqu'un de la région à mes coté pour me montré toutes les « ressource » de cette ville. »

Il semble de plus en plus pris au jeux, et sont sourire devient un peut plus carnassier tout en gardant tout son charme.
« Pour les installations aquatiques, faites à votre grès, imaginez ce que vous désireriez si par aventure vous dormiez dans une chambre similaire. »

Il attend alors la clefs, une fois en sa possession, il jette son sac sur l'épaule et part.
Juste avant de sortir du champ de vue de Céline, il se retourne et dit « A dans une heure et demis... J'espère que vous aimez la moto », avant de disparaître.

En arrivant dans sa chambre, il la vérifiera minutieusement, faisant bien attention a ce qu'aucune interstice dans les volet ne laisse passé le soleil afin de ne pas avoir de désagréable et mortelle surprise le lendemain.

L'interlocutrice de Toesen sembla apprécier la remarque du jeune homme, quand son clin d'oeil, et c'est d'un sourire qui en disait long qu'elle rajouta :
"Je comprend pour la chambre. Nous en avons dont l'exposition évite le vis à vis, et le lever du soleil le matin, donc je note votre demande."

Elle tapa quelques informations sur son ordinateur, tandis qu'elle continuait de répondre :
"Je ne suis jamais allée en Californie, mais j'adorerais savoir comment sont les personnes qui y vivent. Il paraît qu'on a tout (elle accentua ce mot) à apprendre de personnes venus de l'étranger... Je finis mon service ici dans une heure et demi, si vous voulez quelqu'un pour vous faire un peu visiter la ville, pendant que vous lui montrer les talents d'un californien."

Elle releva son regard enjoué vers le nouvel arrivant, avant de rajouter : "Je m'appelle Céline, et vous n'avez rien précisé pour les installations aquatiques."

L'attitude de la jeune femme fait s'accentuer le sourire de Toesen, le fait qu'elle entrait dans le jeux en augmente l'enjeu, sont envie d'y participé, comme un chat jouant avec une souri.
Sa posture ce changeât discrètement pour tirer meilleur partie de son physique agréable, et ca voie ce fit encore plus suave, tout en évitant la limite de l'obséquiosité.

« Oui, je suis californien, vous ètes déjà aller dans ce magnifique état ? »
il lui tend en meme temps sont passeport sans le poser et si la réceptionniste tente de le récupérer, il fera tout pour que leur deux mains se frôles.

« Je m'appelle Toesen Sunshine. Pour la chambre, je pense rentré un peut avant l'aube, il serai triste de ne pas profité de toutes ces lumières nocturne pour s'amuser un peut... La lumière m'incommodant fortement lorsque je tente de trouver le sommeil, ou au réveil après certaines nuit endiablé, j'aimerai une chambre ou il ne filtre pas quand les volet et la portes sont fermée. Et ca ne fera qu'en accroitre l'intimité »

Le gangrel saupoudre alors cette dernière remarque par un discret clin d'œil.

Rattrapant le combiné de ses doigts fins, elle raccrocha posément ce dernier, avant de continuer d'écouter le nouvel intervenant. Son regard plongé dans celui du motard, elle semblait complètement subjugué... Ou alors était-ce lui qui en avait juste l'impression, et jouait-elle de séduction elle aussi, mais sans même avoir à parler ?

"Mais bien entendu monsieur, tout ceci est dans nos cordes, il n'y aura aucun problème de dérangement si le repos est votre priorité. Avez-vous en plus des demandes formulées un choix de chambres particulières ? Désirez-vous profiter de nos installations aquatiques ? Je crois comprendre que vous avez une moto donc je vous prend une place au garage souterrain."
En disant tout ça d'une voix à son tour qui se voulait clairement séductrice, elle tapait sur le clavier en face d'elle afin de rentrer toutes les informations dedans.

"Il me faudrait votre nom monsieur, en plus de toutes ces informations." continua-t-elle poliment, son regard rivé sur l'écran, avant de conclure d'une simple phrase d'accroche "Vous êtes américain ? Cela s'entend à votre accent..."

Lorsqu'il voit la jeune femme, un éclatant sourire charmeur apparaît sur le visage du motard.
Il se dirige vers elle d'un air nonchalant, tentant de jouer de tout ces charmes.

Arrivé au comptoir, il la dévisagea quelques secondes en silence puis lui dit :
'Bonsoir mademoiselle, aurai je l'outrecuidance de vous demander un chambre pour cette nuit et toute la journée de demain ?'

si la réponse est positive, il s'empressera d'ajouter

'Je viens de faire un éprouvant voyage en moto, serait il possible de ne pas être déranger durant toute la journée de demain' il accentuera son sourire et son ton suave avant de poursuivre 'Voir de proscrire l'accès à ma chambre ? J'aurai besoin de concentration et d'un calme absolue. Ho, et il faudrait m'indiquer ou je peut garé ma harley, s'il vous plait'

Ce « s'il vous plait » sonne plus comme une outrageuse invitation que comme une marque de politesse